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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2264587

ABSTRACT

Introduction: The worldwide novel coronavirus disease-2019 (COVID-19) pandemic has caused great loss of lives. Many studies are focusing on the identification of the risk factors associated with COVID-19 severity. Objective(s): This study aims to assess the association between the neutrophil-to-lymphocyte ratio (NLR) and the incidence of severe COVID-19 infection. Method(s): A retrospective study was conducted on 356 patients who were admitted to our pulmonology department from September 2020 to December 2021 for COVID-19 pneumonia confirmed by RT-PCR. Sociodemographic information, clinical and radiological features as well as blood test results were collected from medical records. Data were entered and analyzed using SPSS 18.0 software. Result(s): The mean age was 63,51 +/- 13,80 years, and 152 cases were females. Cough (64,7%) and dyspnea (75,1%) were the two most common symptoms. The cut-off value for elevated NLR was 6,8. Elevated NLR was found in 176 (51,9%) patients. This parameter was associated with obesity (p=0.025), a high rate of intensive care requirement (p=0.044), and an exacerbation of chronic respiratory diseases (p=0.037). A CRP rate higher than 100 mg/L and elevated LDH values were positively associated with elevated NLR (p=0.026 and p=0.016 respectively). Conclusion(s): This study showed that NLR could be identified as a powerful biomarker for early identification of patients with COVID-19 who are at high risk of poor clinical outcomes.

2.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2264586

ABSTRACT

Introduction: Coronavirus disease-2019 (COVID-19) has become a life-threatening healthcare crisis all over the world. Numerous biomarkers are currently under investigation to predict severity in this disease. Objective : This study aims to determine the possible association between increased lactate dehydrogenase (LDH) values odds of disease severity in COVID-19 patients. Method(s): We conducted a descriptive study including 356 patients who were admitted to our pulmonology department, from September 2020 to December 2021, for COVID-19 pneumonia confirmed by RT-PCR. We assembled sociodemographic information, clinical data, baseline inflammatory markers including blood LDH levels and follow-up oxygen saturation levels from medical records. Result(s): The sample included 204 male (57,3%) and 152 female (42,7%) with a mean age of 63,51 +/- 13,80 years. At admission, 51,9% of patients had initial oxygen requirements higher than 6 liters per minute. According to the clinical and biological severity, COVID-19 pneumonia was classified into 3 forms: mild form (9,5%), moderate form (29,1%), and severe form (61,6%). A total of 124 (64%) patients presented with elevated LDH values. A high level of blood LDH was positively associated with an important extent of lung abnormalities at CT scan (p=0.008), cardiovascular complications (p=0.041), and initial oxygen requirements higher than 6 liters per minute (p=0,034). Remarkably, elevated LDH values were found to be associated with the administration of antibiotics (p=0.014 ) and with death (p=0,049). Conclusion(s): Elevated LDH values were high in patients with severe COVID-19 pneumonia. LDH should be considered as a useful biomarker to predict severity in COVID-19.

3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):124, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586675

ABSTRACT

Introduction Depuis son apparition au mois de décembre 2020, l’infection au SARS-CoV-2 s’est distinguée par une diversité clinique amenant les scientifiques à rechercher et dépister les différents facteurs pouvant influencer l’évolution de la maladie. Le but de notre étude est ainsi d’évaluer l’impact de l’obésité sur la gravité de l’infection. Méthodes Il s’agit d’une étude descriptive et rétrospective incluant 279 patients ayant été hospitalisés au service de pneumologie COVID au CHU Mohamed Taher Maamouri à Nabeul, pour une infection au SARS-CoV-2 de la période allant de septembre 2020 à mars 2021. Résultats L’âge moyen était de 64,9 avec une prédominance masculine (57,7 %). Les patients étaient tabagiques dans 13,3 % des cas. L’IMC moyen était de 29,57 [16–51]. L’obésité (IMC<30) a été observée dans 36,6 % des cas. Les comorbidités associés, chez les patients obèses, étaient le diabète dans 44,11 %, l’HTA dans 54,9 %, l’insuffisance coronaire dans 8,1 %, l’ACFA dans 5,6 % et l’insuffisance cardiaque dans 3,9 %. Comparativement aux autres patients, les patients obèses ont présenté autant de forme sévère (définie par une SpO2 à l’admission<94 %) (45,45 % versus 34,9 % p=0,064). La fréquence de transfert en réanimation était comparable pour les deux groupes (18,36 % versus 12 % pour les non-obèses avec p=0,19) de même pour le taux de décès (14,14 % versus 7,2 % ;p=0,121). La durée moyenne d’hospitalisation a été de 9,1 jours pour les patients obèses contre 10 jours pour les autres (p=0,353). Conclusion Selon notre étude, l’obésité ne se distingue pas comme un facteur péjoratif au cours de la pneumopathie COVID-19.

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):131-132, 2022.
Article in English | ScienceDirect | ID: covidwho-1586656

ABSTRACT

Introduction La prévalence de la fibrose post-COVID est variable selon les études et sa physiopathologie est encore mal connue. On se propose à travers cette étude de décrire le profil clinique et radiologique des patients ayant développé cette complication suite à une pneumopathie à SARS-CoV-2. Méthodes Il s’agit d’une étude prospective, menée auprès des patients hospitalisés pour une pneumopathie à SARS-CoV-2 durant la période allant de septembre 2020 à mars 2021, au CHU Mohamed Taher Maamouri Nabeul et qui ont revus à la consultation de suivi à 1 mois et 3 mois. Résultats Deux cent soixante-dix-neuf patients ont été inclus, 161 étaient des hommes avec un sex-ratio à 1,35. L’âge moyen était de 64,9 ans. Les comorbidités les plus fréquentes étaient l’obésité (44,2 %), le diabète (43,5 %) et l’HTA (54,3 %). Les antécédents respiratoires n’étaient retrouvés que chez 46 patients (16,6 %) : asthme dans 3,2 % des cas, BPCO dans 4,3 % et DDB dans 1,8 %. Les symptômes persistants à 3 mois étaient : une dyspnée dans 15,4 % des cas, une toux sèche dans 3,6 % des cas. Les patients encore symptomatiques à 3 mois étaient essentiellement des hommes (38 hommes/19 femmes) de 66 ans d’âge moyen. Parmi eux, 27 avaient un besoin en oxygène initial>6L (p=0,703) ;la majorité avait des lésions étendues (>25 %) et 12 avaient séjourné en réanimation. La TDM thoracique à 3 mois, faite chez 78 patients (28 %), a objectivé des anomalies persistantes à type de verre dépoli et/ou de condensations parenchymateuses dans 21 cas et des stigmates de fibrose pulmonaire (à type de réticulations, un épaississement des lignes septales, une distorsion bronchique à type de rayon de miel ou de bronchiectasies par traction) chez 18 patients. Un bilan immunologique fait chez les patients avec signes tomodensitométriques de fibrose, revenu positif chez 5 patients. Un bilan fonctionnel respiratoire a été pratiqué 20 les patients encore dyspnéiques à 3 mois et ayant gardé des anomalies scanographiques parenchymateuses. La pléthysmographie a objectivé un syndrome restrictif chez 5 patients et le test de marche 6min, une désaturation chez 9 patients. Le diagnostic de fibrose post-COVID avec retentissement respiratoire a été retenu chez 10 patients chez lesquels on a entamé une corticothérapie à raison de 0,5mg/kg/j équivalent prednisone selon le protocole SPLF. Conclusion La fibrose post-COVID serait associée aux formes sévères de la pneumopathie COVID-19 avec des lésions parenchymateuses étendues.

5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):140, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586636

ABSTRACT

Introduction Depuis le début de l’année 2020, le monde a été confronté à une nouvelle maladie infectieuse due au SARS COV2. En l’absence initiale de schéma thérapeutique consensuel, l’utilisation des antibiotiques a été un sujet de controverses. Ainsi, le but de notre travail est d’étudier la place de l’antibiothérapie dans la prise en charge de la maladie. Méthodes Il s’agit d’une étude descriptive et prospective incluant 279 patients ayant été hospitalisés au service de Pneumologie COVID au CHU Mohamed Taher Maamouri à Nabeul, pour une infection au SARS COV2 durant la période allant de septembre 2020 à mars 2021. Résultats L’âge moyen de notre population était de 64,9 ans avec une prédominance masculine (57,7 %). Les patients étaient tabagiques dans 13, 3 % des cas. Des comorbidités à type de HTA étaient notés dans 54,3 % des cas et de diabète dans 43,4 % des cas. L’obésité était observée dans 44 % des cas. Des pathologies respiratoires étaient associées à type d’asthme et de dilatations de bronches dans respectivement 3,2 %et 1,8 % des cas. Les patients ayant reçus une antibiothérapie représentent 58,8 % des cas. Ses principales indications étaient la surinfection bronchique (présence d’expectorations purulentes) dans 30,6 % des cas et les infections extra respiratoires notamment urinaire dans 9,6 % des cas. Les antibiotiques les plus utilisés étaient les céphalosporines de 3éme génération (53,9 %), l’association amoxicilline-acide clavulanique (11,5 %), l’association C3G-Tavanic (16,4 %) et la tazocilline (3,6 %). La durée moyenne de l’antibiothérapie était de 7,3jours. La durée d’hospitalisation était similaire pour le groupe de patients ayant reçu une antibiothérapie par rapport aux autres patients (9,9jours contre 8,6jours ;p=0,15) par contre les décès et les transferts en réanimation étaient plus fréquents dans le premier groupe (respectivement 19,7 % et 21,7 % contre 3,5 % et 8 % ;p<0,001 et 0,002). Conclusion L’usage des antibiotiques doit être rationalisé dans la PEC de l’infection au SARS COV 2 et ne doit en aucun cas être systématique pour éviter ainsi la sélection de germes et l’émergence de résistances.

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